stayin' by my side.
I'm going down on my,
on my knees for you
For your love i'd do it,
for your sake, believe I do.
I've not the faintest idea,
why aren't you talkin' to me?
I'm trying to be the perfect man,
you always want me to be.
I'm accustomed to you,
you're a part of my life.
Everything I told you honey,
I've nothing to hide.
You're my little angel,
you're my little star.
I'm still waitin' every hour,
you're so close to my heart.
All my life I've been waitin',
for one monent in time.
We're together I adore your eyes,
I so adore your sweet smile
I don't give a damn about what somebody told you.
I'll ever be your man 'cause baby I love you.
If the worse comes to the worst,
I'm gonna hold you.
I feel you're far from believin' it.
We walk through a world where nobody has been before.
Turn back the hands of time open every door.
I swear I wouldn't let you down and sure I love you more,
to retrieve your affinity.
You look into my eyes,
You put me out of my misery.
I have never told lies,
I hope that you come back to me.
I want to spend my time of lovin' you forever
No matter what happens,
we must stick together.
Come on trust in my words,
give me your heart back again.
Kiss my lips, touch my hand,
give me a second chance.
My heart is pumpin',
have a feeling that I've never felt,
If i'm allowed to be with you,
the luck is coming to my world.
So far as I remember,
you was perfectly happy to find someone like me,
in a world full of traffic.
I fulfill your dreams,
its not only a taffy...
You're the only one for me.
We walk through the world where nobody has been before.
Turn back the hands of time open every door.
I swear I wouldn't let you down and sure I love you more,
to retrieve your affinity.
]]>D’après l’IASP (International Association for the Study of Pain), « la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, liée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite en termes d'une telle lésion. »"
La prise en charge de la douleur peut s’expliquer par le fait que « (…) la pratique quotidienne d’actes douloureux oblige le soignant à mettre en œuvre un certain nombre de mécanismes de défense visant à le protéger, à le prémunir contre l’enlisement et la contamination par la souffrance de l’autre… » Un aspect intéressant de l’écho que peut produire la douleur de l’enfant est noté chez le soignant : le déni. « Reconnaître, admettre la réalité de la douleur de l’enfant est un exercice difficile pour beaucoup d’équipes accueillant des enfants. D’autant que la non reconnaissance de la douleur est plus facile chez l’enfant car ses moyens d’expression sont plus limités. » (…) « Ce déni est souvent le reflet d’un malaise chez les soignants, d’une incompréhension de l’attitude de l’enfant, d’un dysfonctionnement au sein d’un service. » . Dans les services, il est dit que : « Ce n’est pas de la douleur, c’est de la peur ou de l’anxiété… », ou bien : « C’est de la douleur mais il oubliera… », ou bien encore : « C’est dans la tête, c’est psychologique… ». Le déni de la réalité est un mécanisme de défense des soignants qui nient totalement une part plus ou moins importante de la réalité externe. « Le déni est un mécanisme psychologique où la personne réagit comme si sa pensée était toute puissante et qu’il suffisait de refuser la pensée d’une chose pour que cette chose n’existe pas. Mécanisme pathologique quand il est prévalent et rigide mais qui se retrouve sous une forme atténué chez tout un chacun sous la forme : « il ne faut pas penser au malheur, à la mort, etc. » ; héritage de la pensée magique chez les jeunes enfants. Dans la relation de soin, ce déni se manifeste rarement de façon ouverte mais plutôt de manière inconsciente qui peut se traduire par la persistance d’attitudes nocives (le déni favorise les conduites à risque)… ». Il existe une autre notion qui peut rentrer en ligne de compte dans ce déni des soignants face à la douleur de l’enfant : le concept d’amnésie infantile qui fait partie du développement psychologique de l’enfant. Il est vrai « que nous avons tous été des enfants ». Mais cette période de notre vie que nous avons tous en commun est recouverte « d’un voile d’étrangeté », peu, voir aucun souvenir de cette époque nous revient consciemment à la mémoire. « Qu’il est donc difficile de comprendre ce que veut, ce que cherche, ce que demande un enfant ! » : cela explique cette facilité des soignants à ne pas prendre en compte la douleur de l’enfant qu’il soigne, ne se souvenant pas eux-mêmes de ce qu’ils ont ressenti et vécu à cette période de leur vie. Un autre concept intéressant concernant le vécu de la douleur par les soignants est le transfert. Les soignants adultes résistent mieux à la douleur en général, et donc transfèrent leurs ressentis et leurs émotions sur la personne qu’ils soignent. Ils pensent que l’enfant supporte la douleur de la même façon qu’ils le feraient.
"L'amour désigne un sentiment d'affection et d'attachement envers un être ou une chose qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, spirituelle ou même imaginaire avec l'objet de cet amour et à adopter un comportement particulier.
En tant que concept général, l'amour renvoie la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse envers une personne. Toutefois, même cette conception spécifique de l'amour comprend un large éventail de sentiments différents, allant du désir passionné et de l'amour romantique, à la tendre proximité sans sexualité de l'amour familial ou de l'amour platonique et à la dévotion spirituelle de l'amour religieux. L'amour sous ses diverses formes agit comme un facteur majeur dans les relations sociales et occupe une place centrale dans la psychologie humaine, ce qui en fait également l'un des thèmes les plus courants dans l'art.
Le verbe français aimer peut renvoyer à une grande variété de sentiments, d'états et de comportements, allant d'un plaisir général lié à un objet ou à une activité (« j'aime le chocolat », « j'aime danser ») à une attirance profonde ou intense pour une ou plusieurs personnes (« j'aime mon mari », « j'aime mes enfants »). Cette diversité d'emplois et de significations du mot le rend difficile à définir de façon unie et universelle, même en le comparant à d'autres états émotionnels."
• phagocyté
L’amour est souvent défini comme une fusion, une osmose, une symbiose… Plus question, donc, de rester indépendant. En amour, deux êtres n’en forment plus qu’un, au prix d’une certaine liberté, mais en s’enrichissant de la possibilité de se comprendre sans se parler.
• obsédé
L’image de la personne aimée nous envahit, on ne pense qu’à elle et on ne vit que pour elle. L’amour est décrit comme une attirance physique, mentale et spirituelle : il implique que nous ne puissions nous passer de l’autre, que nous ressentions un intense bonheur en sa présence, un manque lorsqu’il s’éloigne, un déchirement lorsqu’il nous quitte. À proscrire aussi à tous ceux qui tiennent par-dessus tout à leur tranquillité…
• sacrifié
L’amoureux s’oublie, vit à travers l’autre, l’aime plus que lui-même, se sacrifie, se dépasse, pour lui permettre d’atteindre le bonheur. L’amour, c’est ne rien attendre de l’autre et tout lui donner.
• rassuré
L’un des thèmes dominants de l’amour est celui de l’amour-amitié ou amour-compagnonnage. C’est celui de la sécurité affective, s’opposant aux affres de la passion. Confiance mutuelle, respect, compréhension, entraide, soutien réciproque, partage, fidélité, intimité, amitié, complicité, affection, attachement, tendresse, sont ici les mots-clés. Lorsqu’ils déclarent que l’amour, c’est pour la vie, ces étudiants interrogés s’illusionnent peut-être, mais ils conjurent la perception anxieuse qu’ils peuvent avoir de l’instabilité croissante des relations de couple.
• déchiré
Nombre de réponses exacerbent l’idée du déchirement entre joie et souffrance, bonheur et malheur : elles évoquent le sentiment le plus délicieux mais aussi le plus cruel, qui peut faire du bien mais qui finit toujours par faite du mal, qui rend extrêmement heureux et fait horriblement souffrir. Eros apparaît comme un dieu dont les faveurs sont chèrement acquises, sans du reste que dans aucune de ces réponses ne transparaisse le pourquoi de sa vengeance. Force capable de tout, d’unir comme de détruire, l’amour est de toute manière imprévisible, irrationnel, incontrôlable et inexplicable. Il broie souvent les malheureux qui s’adonnent à son influence, inconscients qui avaient oublié que la passion peut parfois être destructrice, tuant ainsi l’amour.
• idéalisé
L’être qui aime ne voit pas les défauts de l’autre, ou refuse de les voir : tout ce qui émanera de cette personne nous paraîtra mieux que chez toute autre. Mais l’amoureux, égoïste dans le sens où l’on aime uniquement pour être aimé, est aussi égoïste en n’idéalisant son partenaire que pour se rapprocher de ce qu’il aurait toujours voulu devenir. Pour certaines personnes, aimer, c’est accepter de percevoir les défauts de l’autre, mais ne pas vouloir le changer, ni le modeler à son image. Pour d’autres, ce sont les défauts même de la personne qui seront aimés : c’est aimer tout en elle, chez qui tous les défauts se transforment en qualités.
• transmuté
L’amour est souvent perçu comme le but de l’existence, donnant un sens, une orientation à la vie, transformant l’individu, l’amenant à se dé « passer » par le fait de trouver la personne avec qui l’on veut évoluer. Il est l’équilibre qu’une personne recherche pour continuer à avancer. Il peut nous pousser à faire certaines choses que nous ne ferions pas habituellement : l’amour peut changer une personne. L’amour, c’est ce qui nous permet de savoir qui nous sommes vraiment. C’est peut-être le sens ultime de l’amour que de nous obliger à sortir de nos limitations et de notre égoïsme. Quitte à briser parfois les repères de ceux qu’il fascine et ravit à eux-mêmes… Aimer, c’est accepter, à des degrés variables, d’être remué, bouleversé, transformé, parfois aussi rassuré, comblé, transcendé. La sympathie ou l’amour ne sont alors que le prétexte pour sortir de nous-mêmes et participer d’un mouvement qui échappe à notre analyse consciente.
Lubomir Lamy*
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